La Clinique du Ter vous propose cette vidéo « Conseils santé » sur la prothèses de hanche et de genou en ambulatoire.

La Clinique du Ter vous présente le parcours en ambulatoire dédié et innovant concernant les prothèses totales de hanche et de genou.

Isabelle Le Mentec :

À la Clinique du Ter, le parcours patient prothèse de hanche / prothèse de genou a changé. On peut les faire en ambulatoire à l'heure actuelle. Ils sont pris en charge pour un parcours individualisé, personnalisé. On les prend en charge et après on pose le casque de Réalité Virtuelle 3D pour les détendre avant d'aller au bloc opératoire. Ensuite bien sûr l'intervention se passe et la kiné vient les voir pour les lever, marcher dans le couloir, faire les escaliers. Il y a une application qui a été mise en place : c'est Orthense. C'est une application qu'ils ont sur leur portable ou leur tablette chez eux. Ils le remplissent et nous on surveille juste que tout est fait. S'il y a un souci, on les appelle.

Pascal S (patient) :

C'est ma deuxième opération, j'ai fait la première hanche ici à la Clinique du Ter, avec le docteur PROCYK, il y a un peu plus d'un an. Méthode classique ça s'était bien passé et là franchement revenir le faire en ambulatoire c'est une révélation. Je suis rentré à la maison le soir, pas de stress. Aujourd'hui quinze jours après je remarche quasiment sans béquilles, j'en garde une pour assurer le mouvement mais la récupération s'est fait très vite et plus rapidement, je pense, que la première opération. Donc je veux dire que c'est un vrai succès.

David S. (patient) :

Aujourd'hui on est à un mois après l'opération. J'ai retrouvé mon autonomie assez rapidement. J+1 je marchais avec une seule béquille, je ne savais pas trop quoi faire de la deuxième. À J+15 je conduisais et puis ça ne va qu'en s'améliorant.

Charlotte LE TENDRE (Anesthésiste) :

Pris en charge en salle d'opération avec une technique d'anesthésie adaptée, qui permet aux chirurgiens d'avoir des bonnes conditions pour opérer. L'anesthésie est faite le plus léger possible notamment avec l'administration des dérivés de la morphine pour que le patient soit le plus vite réveillé, le plus vite sur pied et aie le moins de douleurs possibles en post-opératoire. On le garde en salle de réveil un petit moment avant qu'il ne remonte dans sa chambre.

Dr. Stéphan PROCYK (Chirurgien orthopédiste) :

Vous avez pu ainsi voir le parcours des patients pour la prise en charge des prothèses articulaires, aussi bien de hanche et de genou, en ambulatoire. Le patient est pris de façon agréable, n'est pas médicalisé pour que les choses soient les plus simples possibles. Nous voulons leur donner une dignité humaine pour qu'ils puissent à nouveau profiter agréablement de leur vie. Tout ceci est aussi possible par cette prise en charge en amont de la chirurgie. L'expérience a été tout à fait concluante avec une euphorie de nos premiers patients. Un résultat fonctionnel véritablement accéléré, nous sommes donc dans un cercle vertueux, positif. Nous sommes tout à fait dans ce sillon de l'innovation, dans le respect du patient.